mardi 3 mars 2020

Une chance inespérée de vérifier la cause du "réchauffement climatique" s'ouvre à nous, grâce - en quelque sorte - au coronavirus.
Nous n'aurons nul besoin d'avoir recours à des "scientifiques", seule l'observation des températures, au jour le jour, suffira.
En effet, et on peut le vérifier, ce coronavirus provoque un très fort ralentissement des activités humaines, lequel ralentissement devrait durer longtemps. Ceci est attesté par des observations satellitaires qui montrent, par exemple, la disparition quasi totale, de la pollution au dessus de la Chine, et ailleurs.
Par conséquent, en toute logique, on devrait assister à un net refroidissement des températures puisque les écologistes (dont Greta) prétendent que le réchauffement provient desdites activités humaines polluantes.
Si aucun refroidissement n'est constaté, on ne pourra qu'en déduire que l'homme n'est pour rien dans le réchauffement climatique.
Sans ce coronavirus, jamais nous n'aurions pu nous livrer à une telle expérience consistant à réduire toute pollution, afin de vérification.

A vos thermomètres !

mardi 7 janvier 2020

Je ne suis pas très présent sur mon blog.
Je ne tiens pas à tourner en rond sur les sujets qui me tiennent à cœur.

Je ne savais sur quel pied danser au sujet du Brexit.
Je remarque que le cours de la Livre Sterling monte, ou, au choix, que l'Euro descend.

Les cambistes semblent avoir quelques certitudes ...

La fameuse commission européenne se montre beaucoup moins, intervient beaucoup moins et, lorsqu'elle le fait, elle est moins confite d'elle même.
Cela ressemble à un profil bas.

La France a toutes les raisons de suivre l'exemple britannique.

L'Europe n'a pas tenu ses promesses :

> Notre "non" au referendum de 2005, équivalent au "non" anglais à l'Europe, a été tenu pour négligeable.
> Nos agriculteurs sont devenus pauvres.
> Notre classe moyenne est devenue pauvre et défile en gilets jaunes, tandis que nos dirigeants n'ont d'yeux que pour les quartiers "difficiles" où la France n'existe plus.
> Nos industries, en quarante ans, ont disparu aux trois quart.
> Notre industrie automobile fabrique ailleurs des petites voitures pour des petits revenus.
> Notre industrie nucléaire est sacrifiée aux lubies vertes.
> Airbus se germanise de plus en plus.
> Alstom est l'ombre de ce qu'elle fut.
> Notre sidérurgie n'existe plus.
> Nos frontières européennes, par invraisemblable, ouvertes en grand, n'arrête plus la destruction de notre culture, pour laquelle nous sommes sommés de renoncer au motif de l'apport supposé d'un enrichissement, lequel, à l'usage, se révèle comme une civilisation zombie qui cadavérise la contestation rétive à ses injonctions.

Il est temps de reprendre notre destin en main.